Qu’il rougisse devant un compliment ou vibre sous la caresse, notre épiderme semble exprimer tout ce que nous ne pouvons dire avec des mots. Un langage complexe que l’on commence juste à décrypter.

http://www.psychologies.com/Beaute/Image-de-soi/Relation-au-corps/Articles-et-Dossiers/La-peau-memoire-de-nos-emotions

L’odeur de lavande est relaxante, confirme une nouvelle étude publiée dans la revue Frontiers in Behavioral Neuroscience.

Et ce, en agissant sur le même neurotransmetteur que les médicaments de la classe des benzodiazépines(anxiolytiques, somnifères) tels que l’alprazolam (Xanax), le bromazépam (Lexomil), le diazépam (Valium)…

http://www.psychomedia.qc.ca/sante/2018-10-25/lavande-effet-anxiolytique-mode-action

Ne pas parvenir à s’endormir au coucher ou se réveiller dans la nuit en proie à un tourbillon de pensées est une épreuve souvent pénible. Pratiqués régulièrement, ces exercices peuvent être d’une aide précieuse.

Article extrait de « Pas besoin d’être tibétain pour méditer » (Solar Éditions) de Christine Barois, médecin psychiatre à Paris, spécialiste du stress, de l’anxiété et de la dépression, elle anime également des formations à la méditation.

http://www.psychologies.com/Bien-etre/Sommeil/Dormir/Articles-et-Dossiers/3-exercices-de-meditation-pour-ameliorer-son-sommeil

On considère traditionnellement la respiration comme un processus automatique conduit par le tronc cérébral, la partie du cerveau qui contrôle des fonctions comme le rythme cardiaque et le sommeil. Mais une recherche récente, impliquant des enregistrements faits directement à partir du cerveau des humains subissant une neurochirurgie, indique que la respiration peut aussi modifier le cerveau.

Des changements dans la respiration, comme respirer à des rythmes différents ou porter une attention particulière aux respirations, engageaient différentes parties du cerveau

https://www.sain-et-naturel.com/des-neuroscientifiques-ont-decouvert-limpact-positif-de-la-respiration-profonde-sur-le-cerveau.html

Ni utopique, ni magique, c’est une réalité issue des principes de l’énergétique chinoise revue par l’approche quantique et validée par les neurosciences

https://www.femininbio.com/voyages-loisirs/conseils-astuces/4-etapes-connaitre-joie-m-aimer-93769

Pas toujours facile de débrancher en vacances. De changer de rythme, de faire le vide, de lâcher prise et d’apprendre à vivre le moment présent sans culpabiliser… Déconnecter est pourtant essentiel pour se ressourcer et retrouver son énergie.

http://www.psychologies.com/Therapies/Developpement-personnel/Epanouissement/Articles-et-Dossiers/Savez-vous-deconnecter/De-l-importance-de-deconnecter

Boris Cyrulnik est neuro-psychiatre, éthologiste et psychanalyste. Il est connu pour avoir développé en France le concept de résilience qui explique qu’il est possible de renaitre après une grande souffrance.

Ses ouvrages connaissent un grand succès.

Nous citerons « les vilains petits canards » ou encore « les nourritures affectives » et plus récemment « Sauve toi, la vie t’appelle« .

Aujourd’hui, il est question du cerveau. Boris Cyrulnik répond à Patrice Van Eersel dans le livre « votre cerveau n’a pas fini de vous étonner » à propos de la plasticité cérébrale.

http://anti-deprime.com/2018/05/27/cerveau-memoire-les-4-periodes-sensibles-vies-boris-cyrulnik/

Tania Singer, neuroscientifique et directrice de l’institut Max Planck (Allemagne) a étudié les effets de la compassion sur notre bien-être.

200 volontaires ont ainsi participé à un programme qui consistait, après avoir été formés pendant 3 jours à la méditation de base, à se prêter à des exercices autour de la compassion  à raison de 30 minutes par jour pendant 1 an.

http://anti-deprime.com/2017/01/21/compassion-augmente-joie-diminue-stress/

Mange-t-on pour vivre ou vit-on pour manger ? Nous entretenons un rapport compliqué avec la nourriture, influencés par son coût, son accessibilité, et même par la pression de notre entourage. Mais nous avons tous un point commun : l’appétit, c’est-à-dire notre envie de manger. Et celui-ci évolue tout au long de notre vie suivant « sept âges de l’appétit ». Quels sont ces sept âges ? Comment peuvent-ils nous permettre de prendre soin de notre santé ou encore de mieux vieillir ? Explications.

par Alex Johnstone, titulaire de la chaire de nutrition, Rowett Institute, Université d’Aberdeen, publié initialement sur The Conversation

http://www.psychologies.com/Nutrition/Modes-de-vie/Articles-et-dossiers/Connaitre-les-sept-ages-de-l-appetit-pour-ameliorer-sa-sante

Savoir dire merci, ressentir et exprimer sa reconnaissance, que ce soit envers les autres, envers soi ou envers la vie,  a un effet très puissant sur chacun. Voici ce que les études révèlent sur les bienfaits de la gratitude et quelques conseils pour apprendre à la pratiquer

http://www.citationbonheur.fr/le-bonheur-par-la-gratitude/